il était là sur le bas coté du champ, fatigué par une dure journée de labeur à sillonner ce morne pentu du coté du st-esprit, le corps meurtri par le chaud soleil d’une banale journée de juin 2006. Ses chenilles étaient recouvertes de cette fine terre rouge devenu collante après la petite pluie qui s’était abattue en début d’après midi. Les jeunes pousses du champ de canne juste à coté lui chantonnaient le champ des mornes sous les vivas du vent. Et dire qu’il faudrait remettre cela demain et encore après demain … !